Mittelrhein

La chapelle St. Pierre à Spay

La chapelle St. Pierre est le bâtiment entretenu le plus vieux de Spay. De l’origine de la chapelle il n’y a rien. Au document, la chapelle fut mentionnée la première fois en  1237. Par un acte de donation le chevalier  „Drabodo“ et sa femme „Hedwig“ ont fait cadeau cette chapelle qui a été construit par ses ancêtres, avec le manoir et surtout les vignobles au cloître  „Eberbach“ (près de Rüdesheim) avec la charge que le cloître et les habitants de Spay-haut respectif payent 9 pièces de monnaies de Cologne par an au prêtre de la chapelle St. Pierre.

La tribune baroque de l’ouest a été encastrée plus tard mais également en 17ième siècle. En 1724 il y a été un ordre remarquable: chaques villages de la paroisse de Spay-bas a deux jours de fête auxquels il faut célébrer le service. A Spay-haut à la chapelle St. Pierre au jour de la fête patronale „St. Pierre et Paul“ le 29. Juin et le jour de la consécration, le 3 août.

En 1931 et 1932 on a fait maintenir les fresques par le peintre  „Hermann Velte“  de „Darmstadt“. Mais il n’a été qu’un travail de conservation partielle. Le 15 juin 1949 le fils de „Hermann Velte“ qui a déjà travailler avec son père fut chargé de remettre les fresques. Le 19 Déc. 1984 il y a eu une réunion pour la fondation de l’association à la maintenance de la chapelle St. Pierre.

Les fresques et ses significations religieuses

La peinture a été faite à la première moitie du 14ième siècle. Certainement un noble a fait peintre. Peut-être un descendant du chevalier „Drabodo“ et sa femme „Hedwig“. On n’a fait des portraits que de saints lesquels ont une provenance noble. En outre nous pouvons remarquer qu’il y a des pensées selon du rang des chevaliers et du moyen âge.

La restauration du chœur est bien passée. Devant les bands de mur entre les petits pilastres et les fenêtres les douze apôtres sont placés dont chaque fois deux se tournent vers soi.

Les apôtres Pierre et Paul sont mis à la côté en face l’un à l’autre. Ils sont plus grands que les autres ça veulent dire, ils sont plus importants (que les autres.) Jadis on a utilisé cette manière pour démontrer le pouvoir et le rang le plus grand.

Les images de la nef

La peinture commence derrière la porte principale et continue de droite à gauche. Au mur du nord, elle est partagée en deux registres et interrompu de la figure du St. Christopher. Au mur du nord il y a le dégât le plus grand qui s’est résulté de l’humidité.

La balance des âmes

La première image le haut montre la balance des âmes. C’est la balance du jugement dernier où les hommes doivent prendre la responsabilité de ses faits. La balance est suspendue du plafond.

St. Martin

Le saint monte à cheval blanc. Il se tourne en arrière et coupe son manteau avec son épée pour le mendiant qui est debout derrière le cheval. (Une particularité de la présentation du St. Martin) Revêtir un homme c’est un œuvre de miséricorde.

St. Christophre

Entre les deux fenêtres ogives la figure de St. Christophre prend toute la place dans une attitude solennelle et digne. La figure est présentée directement de front. Le saint se lève du plancher au plafond accompagné de deux figures plus petits ce que souligne sa grandeur encore. Les deux sont armés et portent des vêtements des servants d’un chevalier. Ça symbolise la provenance distinguée.

Ste. Katharine

Au moyen âge la Ste. Katharine a été la sainte la plus aimée à côté de la vierge. Elle fait partie de quatorze sauveurs. Elle est présentée avec les outils de martyre, la roue et l’épée. A côté il y a encore une figure et au de-sous trois chevaliers de croisade.

L’adoration des rois

Comme chez Christophre, Jésus ne parait pas de l’enfant désarmé mais de la saveur du monde. Cette présentation est à voir sur l’arc de triomphe au point exceptionnel. Hors des trois rois une quarter personne présente son hommage à Dieu. C’est l’empereur de l’empire romain sacré avec une épée et un globe. C’est la même image comme il est à voir à la châsse de trois rois à la cathédrale de Cologne.

Le cavalier

Le cavalier avec la croix au blason au côté à droite de l’arc de triomphe ce n’est, pas le fondateur supposé de la peinture. Une telle présentation n’a pas été possible au moyen âge. Les fondateurs ne furent présentés que des petits figures au bord de l’image à l’attendue religieuse. Alors, ce cavalier ne peut être qu’un saint. Probablement il s’agit de St George en effet sans le dragon. Peut-être on l’a renoncé à cause de la place. St. George fut le patron des chevaliers de la provenance noble.

Le cavalier

Le cavalier avec la croix au blason au côté à droite de l’arc de triomphe ce n’est, pas le fondateur supposé de la peinture. Une telle présentation n’a pas été possible au moyen âge. Les fondateurs ne furent présentés que des petits figures au bord de l’image à l’attendue religieuse. Alors, ce cavalier ne peut être qu’un saint. Probablement il s’agit de St George en effet sans le dragon. Peut-être on l’a renoncé à cause de la place. St. George fut le patron des chevaliers de la provenance noble.

Le mur au sud

La petite porte a été brisée après la peinture. La prière au mont des oliviers est présentée au registre en bas, ensuite de l’arrestation avec le baiser de Judas. Jésus sera tiré de plusieurs gens, ça doit présenter la condamnation de Jésus par Pilatus.  Une figure au bord de l’image tient une cruche et Pilatus se lave ses mains à l’innocence.

La résurrection des morts et le dernier jugement

Au-dessus de registre de la Passion on nous montre la résurrection des morts. Ils lèvent les couvercles des cercueils ils-mêmes. Les anges annoncent le dernier jugement.

Le mur de sud presque sans fenêtres présente le dernier jugement du monde. Jésus Christ trône sur la paix infinie de l’arc de triomphe les mains à l’attitude d’un juge miséricordieux. A droite les élus montent. Ils sont laissés au ciel qui est présenté d’un château de moyen âge. Le St. Pierre les attend à l’entrée. A gauche du juge divin les gens funestes glissent, poussé du fantôme, au pouvoir du diable avec le trident. Un diable à la porte de l’enfer montre son visage à la fesse. La bouche de l’enfer est présentée à la gueule d’une bête exceptionnelle. Nous ne voyons qu’une partie de la bête. Etant debout au pilier le Satan sera présenté avec la double tête et des plusieurs visages avec un nez très longue en vomissant de feu.